Exposition “Wind under the Wings– Année de l’oiseau” à l’Institut français du Japon – Tokyo | 10 - 21 mai 2017
L’Institut français du Japon – Tokyo a le plaisir d’accueillir l’exposition de photographies de Muriel Pénicaud, Wind under the Wings – Année de l’oiseau du 10 au 21 mai 2017. Une plongée dans l’univers poétique et engagé de l’artiste, où chaque cliché raconte une histoire unique inspirée de ses voyages à travers le monde.
À la tête d’une agence publique internationale, Muriel Pénicaud a toujours mêlé art et enjeux sociétaux. Ancienne dirigeante de grands groupes internationaux, elle a créé le fonds mécène Sakura qui promeut le lien entre art et enjeux sociétaux. La photographie et l’écriture, ses deux grandes passions, se retrouvent ici dans une série d’œuvres empreintes de sensibilité et de profondeur.
Cette exposition est organisée par l’Institut français du Japon – Tokyo, en collaboration avec la Maison Laurentine et le Fonds mécène Sakura, avec le soutien du restaurant Le Bretagne.
Informations pratiques :
Lieu : Institut français du Japon – Tokyo, galerie
Adresse : Institut français du Japon - Tokyo, galerie
〒 162-8415
15 Ichigaya-funagawara-machi, Shinjuku-ku TokyoDates : [À préciser si manquant]
Entrée libre
Venez découvrir cette célébration artistique unique qui met en lumière la beauté de l’oiseau et son lien avec les sociétés humaines.
L’oiseau incarne le divin.
Lorsqu’il aura disparu, il n’y aura plus rien.
Ni hommes, ni dieux.
Plus rien pour chatouiller le ciel.
Plus rien pour rendre hommage à la terre.
L’oiseau réunit l’ange et le démon.
Lorsqu’il aura disparu, il n’y aura plus rien.
Ni bien ni mal.
Ni beauté ni monstrusosité.
Plus rien pour signer l’invisible.
Plus rien pour rallumer les braises.
Muriel Pénicaud ne «photographie pas les oiseaux».
Elle photographie ce qu’ils incarnent encore.
Les mythes, les divinités, les anges, les démons, les hommes.
Elle tente de restaurer en nous
une part de la splendeur qui, un jour, nous appartint.*
L’oiseau incarne le divin.
Lorsqu’il aura disparu, il n’y aura plus rien.
Pierre Bongiovanni
« Nous ne pouvons nier que l’humanité présente a égaré le secret, gardé jusqu’à l’âge actuel, de se donner à soi-même un visage où elle pût reconnaître la splendeur qui lui appartient. »